A l’échelle Européenne, nous mangeons en moyenne 24 kg de poisson par an, soit près du double d’il y a 50 ans.
Pour assouvir un appétit toujours plus grand, nous prélevons désormais davantage de poisson dans l’océan que celui-ci ne peut en produire.
Conséquence, nous avons atteint le point où écosystèmes marins et nombre de communautés locales (surtout dans les pays en développement) sont en péril. Deuxième menace pour nos océans après le changement climatique, la surpêche est telle qu’il pourrait bientôt ne plus y avoir de poissons à pêcher et consommer.
Fort heureusement, nous pouvons enrayer la surpêche. Mais pour cela, il nous faut votre aide.
Pour assouvir un appétit toujours plus grand, nous prélevons désormais davantage de poisson dans l’océan que celui-ci ne peut en produire.
Conséquence, nous avons atteint le point où écosystèmes marins et nombre de communautés locales (surtout dans les pays en développement) sont en péril. Deuxième menace pour nos océans après le changement climatique, la surpêche est telle qu’il pourrait bientôt ne plus y avoir de poissons à pêcher et consommer.
Fort heureusement, nous pouvons enrayer la surpêche. Mais pour cela, il nous faut votre aide.
Plus de la moitié du poisson que vous achetez vient de pays en développement.
Les faits qui fachent
Chaque français consomme en moyenne 33,5 kg de produit de la mer par an dont 22 kg sont importés.
Environ
73%
des stocks recensés en méditerranée sont surexploités
35%
des stocks halieutiques mondiaux sont surexploités
Pour 800 millions de personnes habitant pour l’essentiel les pays en développement, le poisson forme à la fois une source de nourriture et de revenus pour la famille.
En 2014, les pays méditerranéens de l’UE ont importé environ
85%
du poisson qu’ils ont consommé
La pêche illégale, illicite et non réglementée pourrait bientôt atteindre
26 millions de tonnes
soit plus de
28%
des captures annuelles totales réalisées dans le monde